diference entre le loricaria parva & le LG6

Démarré par molokobulldog, 09 12 07, 00:09 AM

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fmagnier

Citation de: eric6767 le 13 01 08, 18:18 PM
j'y comprends rien a ses histoire de V sombre  :rire: mais vue que j'ai les 2 especes on peu comparer sur photos  :-D
pour moi je pense pas que se soit la meme especes
Je vais essayer de reprendre sur tes photos. Je me suis permis de les éditer.
Une des clefs pour lanceolata serai ce que j'ai entouré, ce qui est hachuré serai à ne pas prendre en compte.



Les clefs pour rine ou non sont presques toutes sur le ventre (plaques, dents...)

fmagnier

Citation de: ElTofi le 13 01 08, 18:11 PM
si je te suis bien, jusqu'alors, on différenciait les espèces par des critères morphologique (formes, patron de coloration) et géographique ce qui n'est pas toujours fiable. ADN à l'appui, on peine à différencier des espèces très différentes par leur coloration...
mais, on garde encore des clés d'ID qui restent malgré tout uniquement morphologique (ocelle, tache sombre en V, etc...)
c'est pas un peu confus ? ou c'est moi qui ai mal compris ? Dans tous les cas, c'est un sujet super intéressant.
Et bien il apparaitrai deux choses :
L'origine geographique est une des clef les moins fiable. Des poissons classés dans deux especes differentes à cause de leurs origines géographiques peuvent très bien apparaitre dans la même espece si on cache ce critere. L'idée de la classification par des marqueurs sur l'ADN est de ne connaitre que cela du spécimen. On utilise cet info pour trouver une espece et ensuite on regarde si on tombe juste ou pas en fonctions des autres criteres. Un premier ensemble de spéciments est utilisé pour choisir les marqueurs et pour etalonner les logiciels. Pour cela on utilise des espèces bien établies et bien différentié. L'echelle de travail est le plus souvent la famille ou la tribue. Dans notre cas par exemple les Loricarinae.
Pour chaque espèces on obtient un nuage de points et un écart acceptable (bruit).
Ensuite on rentre le maximum d'échantillons dans la moulinette, et indépendamment de leurs classifications préalables on regarde où ils tombent.
Le travail de Raphael dans son article à ete de chercher des clefs externes qui confirment les résultat obtenus. Par contre pour ce travail il n'est pas descendu au delà du genre. Cela ne permet pas de trouver l'espèce. Donc oui ont parle de critères morphologiques, tels que les dents, le nombres de plaques osseuse, ..... et d'autres moins utilisables pour nous tels que des statistiques sur le ratio longueur/largeur.
Dans un genre, pour differencier les especes, effectivement on retombe sur des caracteres de couleurs. Mais tout cela reste très délicat car souvent il y a peu de spécimens etudiés (1 parfois, 5-6 le plus souvent). Les limites géographiques ont été posée souvent en un temps ou la géographie de l'amerique du sud etait mal connue. Il a quand même fallu plus de 200ans après que des espagnols aient utilisés cette voie fluviale pour fuir et l'aient ecrit pour qu'enfin on admette que peut être le bassin de l'Orenoque communiquai avec le bassin amazonien. Aujourd'hui on peut dire qu'il est bien possible que tout communique. Et s'il faut 6000 ans à une population de rineloricaria pour aller du venezuela en argentine, elle peut tres bien y arriver un peu différente. Est ce pour autant une espece differente ?
Ce système à quand même une grosse limite, le choix des marqueurs est au moins aussi crucial que le choix des critères morphologiques. Un mauvais choix conduit aux meme aberrations. Certains donneraient comme resultat que chaque individu à sa propre espece, d'autres que tous appartiennent à la même.

Juste pour rire, chercher a définir sur des critères externes deux espèces tels que Canis lupus et Columba livia. Ensuite reprenez vos critères et appliquez les à une population. Surprise.... c'est un coup à trouver des critères qui font qu'un chat devient un chien ou a manger du pigeon au pot.
Et j'evite Homo sapiens sapiens à cause des aspects 'émotionnels'. Mais parler du patron de coloration des poissons pour les classifier c'est peut être comme parler de la couleurs des cheveux pour définir une population humaine.

Mais imaginez vous ET débarquant sur terre et cherchant a classifier ce qu'il y trouve...

molokobulldog

cela m a rien a voir quand on les regarde,  :colere:

J suis pas pres de mettre un nom sur les  miens , pas grave ils sont beaux quand meme  :ange:

eric6767

#11
CitationRineloricaria lanceolata, la clef d'id est le V sombre sur le dessus de la tete, au dessus de la bouche. Anelure, dorsale, ... trop variable
LG6, d'après l'article, en lui appliquant les clefs c'est un Rineloricaria. Il a le V. Pour Raphael LG6 = L42 = Rineloricaria lanceolata. Juste des variation, pas une espece differente.

j'y comprends rien a ses histoire de V sombre  :rire: mais vue que j'ai les 2 especes on peu comparer sur photos  :-D

rhinelocaria lanceolata (du moins acheter chez un specialiste allemands sous cette appelations...)



le poissons en premier plan)



pour le LG6 (origines allemande comme beaucoup de mes poissons)





et les 2 cote a cote



pour moi je pense pas que se soit la meme especes

ElTofi

si je te suis bien, jusqu'alors, on différenciait les espèces par des critères morphologique (formes, patron de coloration) et géographique ce qui n'est pas toujours fiable. ADN à l'appui, on peine à différencier des espèces très différentes par leur coloration...

mais, on garde encore des clés d'ID qui restent malgré tout uniquement morphologique (ocelle, tache sombre en V, etc...)

c'est pas un peu confus ? ou c'est moi qui ai mal compris ? Dans tous les cas, c'est un sujet super intéressant.

fmagnier

#9
J'ai eu un peu plus d'infos de la part de l'auteur du document vendredi am. Il y a des choses etonantes...
Rineloricaria parva, la clef d'id est l'ocelle à la base de la dorsale. C'est le seul riné qui à ca.
Rineloricaria lanceolata, la clef d'id est le V sombre sur le dessus de la tete, au dessus de la bouche. Anelure, dorsale, ... trop variable
LG6, d'après l'article, en lui appliquant les clefs c'est un Rineloricaria. Il a le V. Pour Raphael LG6 = L42 = Rineloricaria lanceolata. Juste des variation, pas une espece differente.

Des analyse ADN n'ont pas permis de le differentier certaines especes de riné parmis les plus courantes. Le genre est en réorganisation car les especes y ont ete créé par origine geographique et patron de coloration, deux criteres qui aujourd'hui se montrerai bien peu fiables.

molokobulldog

Citation de: molokobulldog le 09 12 07, 11:00 AM
mardi, je vais d adherer a l ASA (un des club d aquariophilie du Mans) car ils ont une grande bibliotheque  :timide:

J suis deçu au club il n y a aucun livre sur les loricariides et personne n est passionner par cela  :-(

Manon des sources

Citation de: Manon des sources le 09 12 07, 11:58 AM
Salut,

Libre de droits, merci Raphael  :merci:.

http://www.mapress.com/zootaxa/2007f/zt01462p040.pdf


Houlala, les dimanches matin sont difficiles... :xx:

Ce document n'est pas "libre de droits" mais "en consultation libre" ce qui est TRES rares sur les travaux de ce type.

Vala, l'eglise est revenue au milieu du village.

--
Mds, pas taper  :fessee:

Manon des sources

Salut,

Juste pour info :

document en Anglais, desolée, mais c'est le top du top...

Libre de droits, merci Raphael  :merci:.

http://www.mapress.com/zootaxa/2007f/zt01462p040.pdf

A+

*-*
Mds





molokobulldog

mardi, je vais d adherer a l ASA (un des club d aquariophilie du Mans) car ils ont une grande bibliotheque  :timide:

serge

Il est bien évident que si tu n'es pas sur du nom à l'achat et que en plus 2 seraient d'espèces différentes tu ne saura jamais ce que c'est avec les centaines d'espèces qui se ressemblent

Si ta passion sont ces poissons ton livre de chevet sera MERGUS WELS ATLAS 1 seconde edition ( remise à jour avec hémiloricaria et tout le reste)

molokobulldog

dommage que je n ai pas de bon appareil photo
car les dorsales sont grande aussi, j ai une grosse tete et une tete moins large
C est pas evidant car en plus ils changent de nom  :colere:

serge

#2
Question très délicate et réponse très délicate sachant qu'il y a des centaines de Hexen. Il ne faut pas acheter 2 mêmes espèces à 2 endroits différents.
C'est clair ce ne sont pas de loricaria parva (voir autre post) . Ce n'est pas la question demandée.

LG6 (que je possède et reproduit) a un gros soucis ,  G= Gattung (genre inconnu). Ca pourrait être un hémiloricaria mais.....sa dorsale est beaucoup plus grande comme celle des sturi....thys (dur à 1h30 du matin).
Donc ce qui est sur c'est qu'il a une dorsale nettement plus grande que le parva ( attention très très proche du fallax). Il a environ la même taille que le LG6
Mais je trouve que le patron est complètment différent. Bon je ne suis pas expert pour ces poissons (va voir le site de Norman sur l'autre post, il y a plein d'info)

molokobulldog

Bien voila, j ai un couple et je voudrai savoir la quelle espece que c est vraiment car quand je voir cette foto, c est tout a fait cela
http://www.planetcatfish.com/catelog/species.php?species_id=1772