Citationle problème vient du libéralisme globalisé qui est placé en modèle unique de développement. Je veux dire par là que seules des mesures coercitives venues des états pourraient amener un quelconque changement, le marché seul ne pourra rien faire, rien que du fait que plus le pétrole est rare plus il est rentable, on est donc pas près de passer à autre chose.
C'est totalement faux. Le marché n'est pas un truc horrible qui n'a pour but que de pourrir la planète. Nul besoin de mesures coercitives, le marché la seule chose qu'il demande c'est que ce soit rentable (sur le plan financier, en terme d'image ...)
Quand Toyota s'est lancé dans la prius il y a plus de dix ans, c'est parce que c'était bon pour son image (et qu'à terme, c'est à dire aujourd'hui, c'est rentable, il y a une clientèle pour ce type de voiture sur un marché quasiment sans concurrence des voitures propres, mais au départ rien n'était moins sur)
Quand les transporteurs routiers font des formations à leurs chauffeurs et suivent scrupuleusement leurs consommations c'est parce que ça fait gagner de l'argent.
Coté industriel, quand on investit dans des systèmes performants pour réduire et optimiser les consommations d'énergie, quand on économise l'eau, ... c'est parce que c'est bon pour l'entreprise en terme d'image et pour les finances.
Les gros industriels préparent déjà la raréfaction du pétrole. On sait déjà faire du plastique à partir de plantes par exemple.
Faut pas oublier que au cours des années 2000 les industriels on eu tendance à réduire leur consommations d'énergie alors que du coté des particuliers cela continue de croitre assez rapidement ...
Les industriels sont en avance sur les particuliers et sans vraiment de contraintes lourdes pour ce qui est des gaz à effet de serre.
Le retard des particuliers s'explique sans doute par une méconnaissance des sources de pollutions et de consommation d'énergie, une méconnaissance des solutions à disposition et surtout un manque de moyens pour investir dans des solutions rentables à moyen ou long terme (on en revient aux banquiers :*ll*: ).
La prise de conscience est en cours, il faut continuer à informer, à en parler