Je trouve que l'idée est interessante ...
pas mal d'aquascapeurs bossent en groupe pour avancer, pour critiquer. En pensant à mon atelier en Loire Atlantique, je pense à des projets collectifs également.
Lorsque on vois la photo de son bac , sans parler du fait qu'à force d'avoir le nez dessus on ne vois plus rien, (sauf avec le temps car l'experience, avec ses succès mais échecs est un atout majeur) on se rend compte de ses erreurs uniquement après que d'autres aquascapeurs aient vu et critiquer la photo, qu'ilsfassentt telle où telle remarque, après il y a le travail d'équipe pour la finalisation, par exemple , pour le bac de Mel nous étions 4 sur place pour prendre la photo, puis il y a de la prod et de la retouche derrière cela ne fait pas le bac, loin de là, mais pour finir dans le top 100, cela ne peut pas nuire.
Et puis après tu as les places, les dites places....lorsque tu vois Cliff Hui 4 ème, qui l'année dernière était ds les 280, quand tu vois Utaka Kanno, 4ème l'année dernière et dans les 150 cette année, déja tu te dis que certains aquascapeurs, au dela de la performance tehcnique, prennent de vrai risque esthetique..et ça dans les concours, c'est tout bon où tout mauvais..quand tu vois Mel dans les 500 l'année dernière et dans les 100 cette année et bien tu dis dis , que ce n'est qu'un concours, que le niveau est énorme et que chaque année tu as des chances, il suffit de pas lâcher l'affaire! Parce que en France, j'ai un peu l'impression qu'au moindre échec on peu plus facilement qu'ailleurs se décourager, .hors il faut avancer, par la critique, l'auto-critique et la critique collective...
