En fait, le Linke & Staeck (1992) étant déjà ancien, il se peut aussi qu'il existe des populations sauvages avec du jaune, ce qu'auraient pu ignorer les auteurs... Quoi qu'il en soit, il me semble que les individus "opale" du commerce ne possèdent pas les marques rouges très prononcées sur l'opercule et sous l'œil qui, d'après les auteurs, caractérisent le borellii de forme sauvage (il y a une photo d'un tel spécimen dans le bouquin et, en effet, le rouge et très marqué !).