Quelques remarques au passage.
Les pierres vivantes lâchent pas mal de sédiments au démarrage. Le mieux est de démarrer sans sol pour pouvoir siphonner le fond. Les moins denses sont les meilleures, car bien poreuses.
Il se peut que tu sois un peu envahi par des plantes supérieures (effet "pochette surprise"). Tel ce 30l qui m'avait bien amusé car il s'était asquacapé tout seul comme un grand (photo pourrie, récupérée sur mon compte FB) :
Les plantes ont fini par disparaître... Mystère mystère.
Ecumeur, je n'en n'avais pas (ce qui ne veux pas dire que ce n'est pas une option quasi nécessaire). @Zebra-fam, si tu passes par là, ce serait sympa d'avoir ton point de vue...
Cycle de l'azote. En eau de mer, cela n'a rien à voir avec l'eau douce qui n'a qu'un "demi cycle" de l'azote avec des NO2 présents dans la colonne d'eau en résultat final. Ils y restent, sauf ce qui est consommé par les plantes.
En eau de mer, grâce aux bactéries anaérobies présentes dans les PV, les NOX sont décomposés en azote gazeux N2, et O2, qui sont évacués dans l'atmosphère.
Par expérience, dans un si petit volume, une des plus grandes difficultés est l'évaporation à compenser. S'il me revenait l'idée de recommencer (pas exclue), l'osmolateur avec compensation automatisée du niveau par de l'eau osmosée me paraît quasi incontournable. Cela assure une salinité constante, on peut s'absenter de chez soi pendant des semaines sans soucis.