Bonjour
@tony2 A tous :
Ce que tu exposes confirme les ordres de grandeur de mes constats ainsi que ceux des bouts de calculs. La limite avec les glaçons, c'est leur masse assez faible, donc impact faible.
Dans une ambiance à 29°C, le 180L se stabilise à peu près à 27°C, seulement à cause de l'évaporation, environ 1 à 1,5L sur 24 heures. Pour baisser à 25°C, bouteilles congelées, 3L/jour.
L'évaporation est "redoutablement" efficace, mais n'est rendue possible que si l'air au dessus du bac n'est pas saturé en humidité. Ce n'est possible qu'avec un bac ouvert, et un moyen de renouveler l'air en surface (ventilateur). C'est une bonne méthode, sans risque supposé ou réel, à la seule condition de compenser l'évaporation par de l'eau osmosée pour ne pas augmenter la minéralisation.
Dans mon cas, pas de ventilos (difficilement envisageables, pas de place) mais une vitesse d'eau conséquente en surface, environ 1m/s jusqu'à 1m des sorties de pompes.
Le tableau a été complété :
- Ajout des % relatifs des chaleurs sensibles et latentes, qui démontre que c'est la fusion de la glace qui est prédominante. La bouteille d'eau froide (non congelée) comme j'ai pu lire n'a pas beaucoup de capacité de refroidissement.
- Une ligne créée avec l'énergie d'évaporation de 1L d'eau. Cela équivaut à la fusion de 5kg de glace, c'est conséquent.
Malgré tout, le gain espéré vs la température ambiante avec la fusion ou l'évaporation reste limité à quelques degrés.
L'idée d'avoir un bac marin type flaque d'eau à marée basse restera en ce qui me concerne un joli rêve, car gagner 10°C par rapport à l'ambiance, cela ne peut s'envisager qu'avec un groupe frigo.
Tableau modifié :
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