Bonsoir,
En bas de la réponse, une image de spectres de différentes sources. Une autre de l'effet d'un spectre horticole (par ailleurs tu imagines qu'avec cet éclairage les couleurs des cardinalis vont "péter"). En fait la couleur blanche n'existe pas en soi, il s'agit d'un mélange de couleurs de différentes longueurs d'ondes. Le vert tu l'ajustes pour l'intensité lumineuse et le rendu.
Etant très loin du milieu actuel des compétiteurs et de leurs pratiques, mais suivant un peu l'aquascaping, le PAR reste au mieux une notion théorique connue, et je pense que cela ne va pas plus loin.
Les éclairages "100%" PAR, sont avant tout destinés à optimiser la consommation électrique pour les usages horticoles. Jouer sur le vert n'aura pas trop d'incidence en aquascaping, car il y en aura toujours assez à mon modeste avis (à pondérer en fonction des parts relative des chlorophylles A, B, et C, dont on ne sait pas trop les impacts sur la répartition RGB à la source). Et s'il y a "trop" de vert, c'est sans importance.
Pour le pH-mètre, j'ai un gros doute sur la fiabilité de mesure dans le temps d'un combiné. Par nature un pH-mètre dérive dans le temps, et doit donc pouvoir être calibré à partir de solutions d'étalonnage (en général pH 4, 7 et 10). De plus et en principe, la sonde ne doit jamais sécher et être conservée dans une solution de KCl. Un bon réactif coloré, dans la gamme de valeurs qui t'interesse, est aussi très valable et même s'il est moins discrimant qu'un pH-mètre, cela reste fiable. Le drop checker par son principe reste un bon outil (à condition de savoir bien discriminer les nuances de bleu vert.
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