PEPEJUL:
Pour moi, l'effet des plantes sur les nitrates est complètement vérifié en eau douce, je ne vois pas de raison pour que ça se passe différemment en eau de mer. Dans un bac densément planté et peu peuplé, c'est même la carence qui est le plus à craindre. L'ajout de KNO3 est préconisé en eau douce si on utilise une eau pauvre en nitrates, et c'est ce que je pratique en eau douce, à raison de 1ppm par jour, avec un taux mesuré très faible. Ceci est aussi préconisé dans l'article de Sarah Lardizabal.
Les refuges qui se mettent à dériver, c'est peut être du à la surcharge organique par un bac principal trop peuplé, et à l'absence de fertilisation maîtrisée en plus du manque de brassage qu'évoque Niclette.
Orcinus_orca:
J'ai pensé à cette idée d'inverser les choses par rapport au récifal, c'est à dire placer des pierres vivantes dans un réfugium relié au bac principal "à plantes". C'est sûrement une bonne idée pour préserver une source permanente de microfaune. Pour l'utilité des pierres vivantes dans ce type de bac, ce ne serait donc plus qu'une source de micro organismes ou de micro faune, le rôle de dénitrification étant normalement dévolu aux plantes.
C'est séduisant, ça complique un peu l'installation mais pourquoi pas.