Ou plus simplement une série de branches (ou souches) assez épaisses. L'air parvient à passer à travers le bois.
J'ai pu le vérifier depuis plus de 12 ans dans un étang que j'avais réalisé en son temps chez mon paternel. Des vairons et même des characins (je ne sais pas si c'est le terme juste, mais des vifs à brochet, de la famille des cyprinidés, une sorte de carpe mignature) avait passé plusieurs hivers particulièrement gratinés à Epalinges, près de Lausanne, à 800 m d'altitude.
Le seul hiver où je n'ai pas introduit de souche de bois, la glace a pris sur toute la surface (et assez profond, je dois dire : env. 50 cm) et au printemps, il y avait de méchantes traces visqueuses et dégageant une très mauvais odeur en surface, juste sous la glace... une catastrophe, tout était mort, asphyxié !